Divertissement

Secrétaire de la culture va discuter du cas de Huw Edwards avec le patron de la BBC.

Culture Secretary Lisa Nandy devrait s’entretenir avec le directeur général de la BBC, Tim Davie, après que l’ancien présentateur de nouvelles Huw Edwards a plaidé coupable de trois chefs d’accusation de fabrication d’images indécentes d’enfants. Les deux devraient discuter de la façon dont l’organisation a géré l’affaire, après que la BBC ait été informée que Edwards était sous enquête pour des infractions liées à des images d’abus d’enfants.

L’affaire a été révélée mercredi soir, suscitant des questions sur le fait que la BBC n’avait pas licencié Edwards lorsqu’elle a appris de son arrestation et pourquoi elle a continué à lui verser son salaire pendant cinq mois supplémentaires. Edwards avait démissionné en avril, invoquant des conseils médicaux, et avait été accusé en juin.

La BBC a déclaré qu’elle aurait renvoyé Edwards s’il avait été inculpé alors qu’il était encore employé par l’organisation. Cependant, elle a également déclaré qu’elle n’avait pas été informée de l’arrestation ni des accusations portées contre lui avant qu’elles ne soient rendues publiques.

L’enquête sur Edwards a commencé après la découverte d’une conversation WhatsApp sur un téléphone saisi dans le cadre d’une enquête non liée. Il a admis avoir 41 images indécentes d’enfants, dont certaines très graves, et a été condamné pour trois chefs d’accusation de fabrication d’images indécentes.

La fabrication d’images indécentes d’enfants couvre un large éventail d’actions, allant de l’ouverture d’une pièce jointe à un e-mail contenant une image au visionnage en direct d’images d’enfants. La fabrication peut être considérée comme une possession, une distribution ou une production, et les peines peuvent aller de six mois à trois ans de prison. Un programme de traitement des délinquants sexuels peut être une alternative à la prison lorsqu’il existe des perspectives suffisantes de réadaptation.

En résumé, l’affaire Huw Edwards met en lumière la responsabilité des organisations médiatiques en matière d’éthique et de transparence, ainsi que l’importance de protéger les enfants contre les abus et l’exploitation.