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Les questions pièges adorées par la police lors des contrôles routiers

Lorsqu’on est arrêté par un agent de police, il est important de savoir quoi ne pas dire pour éviter de se nuire. Les avocats de chez Walden Law ont dressé une liste des quatre questions les plus courantes posées par la police lors des contrôles routiers et donnent des conseils sur les réponses à apporter.

La première question à laquelle il faut faire attention est : « Savez-vous pourquoi je vous ai arrêté ? ». Il est conseillé de répondre que l’on ne sait pas ou de dire que l’on préfère ne pas le dire, en invoquant son droit au cinquième amendement.

Ensuite, la question « Avez-vous bu ce soir ? » est délicate. Il est préférable de dire que l’on n’a rien bu, ou sinon de ne pas répondre sans la présence d’un avocat. Admettre avoir consommé de l’alcool peut donner aux policiers une raison de réaliser un test d’alcoolémie.

La troisième question concerne la présence d’armes dans la voiture. Dans certains États, comme le Wisconsin, il est obligatoire de déclarer la présence d’armes lors d’un contrôle routier. Il est important de connaître les lois locales pour ne pas dire plus que nécessaire.

Enfin, la question « Puis-je fouiller votre voiture ? » est un piège. Il est recommandé de refuser en disant « Je ne consens pas aux fouilles ». Cependant, la police peut fouiller la voiture s’ils ont des motifs raisonnables, même sans mandat de perquisition.

En conclusion, il est essentiel de connaître ses droits et de ne pas dire des choses qui pourraient se retourner contre soi lors d’un contrôle routier. Il est primordial de rester calme, respectueux et de se rappeler qu’il est toujours possible de contacter un avocat si nécessaire.