Le parti vert condamné à payer 90 000 £ après avoir perdu un cas de critique du genre
Le Parti vert de l’Angleterre et du Pays de Galles a été condamné à payer 90 000 livres sterling pour couvrir les frais de leur ancien vice-président, qui a remporté un procès pour discrimination contre eux. Shahrar Ali avait déjà reçu 9 100 livres sterling de dommages et intérêts en février, après que le tribunal eut statué que les Verts avaient illégalement discriminé contre lui lors d’une dispute concernant ses croyances critiques sur le genre. Cette décision soulève des questions sur la stabilité financière des Verts après que les auditeurs aient averti que l’affaire laissait planer « une incertitude » sur la capacité du parti à fonctionner normalement.
Il est clair que cette affaire a eu un impact financier sur le parti, malgré leur meilleure performance électorale qui a conduit à l’élection de quatre députés cette année. Le refus du Parti vert de révéler les coûts totaux des procédures judiciaires souligne les défis auxquels le parti est confronté. Cependant, le fait que le parti ait mis de côté 280 000 livres sterling pour d’éventuelles factures juridiques montre une certaine anticipation de ces problèmes.
La décision de la cour de justice de condamner les Verts à couvrir 60 % des coûts de Shahrar Ali souligne la gravité de l’affaire. Le fait que d’autres activistes du Parti vert partageant des points de vue similaires envisagent des actions en justice montre que cette affaire pourrait être le point de départ de plusieurs autres litiges qui pourraient mettre à rude épreuve les finances du parti.
Malgré ces difficultés financières, le Parti vert reste optimiste et affirme que cette affaire n’affectera pas leur travail futur. Ils insistent sur le fait qu’ils continueront à construire sur les brillants résultats électoraux locaux et nationaux de l’année dernière pour garantir un changement réel pour le pays. Il est clair que cette affaire a des conséquences profondes pour le Parti vert et qu’il devra faire face à de nombreux défis à l’avenir pour maintenir sa stabilité financière et son unité interne.