Il est temps pour les législateurs de la technologie embarquée de commencer à écouter
Michael van der Sande, directeur général d’Alpine, a récemment critiqué les fonctions de conduite autonome de niveau un, les qualifiant de « cauchemar ». Il a souligné les problèmes tels que des alertes de freinage d’urgence multiples et des interventions inutiles de l’assistance au volant, les décrivant comme « confus, agaçants et (à mon humble avis) pas très sûrs ».
De plus, il a noté que des fonctions aussi basiques que la vitesse des bouches d’aération étant cachées à la deuxième page de l’écran central rendent les voitures plus distractives et donc moins sûres que les précédentes générations.
Ces critiques sont importantes, car elles mettent en lumière un problème majeur dans l’industrie automobile, où les constructeurs et les législateurs semblent ignorer les préoccupations des conducteurs. Il est temps que ces préoccupations soient prises au sérieux et que les voix critiques comme celle de van der Sande soient entendues.
Il est crucial que les véhicules soient conçus pour assurer la sécurité des conducteurs et des passagers, et qu’ils ne devraient pas être sacrifiés au nom de la technologie. Les critiques constructives comme celles de van der Sande sont essentielles pour améliorer l’expérience de conduite et éviter les situations dangereuses sur la route.
Il est donc nécessaire que l’industrie automobile prenne ces critiques au sérieux et reconsidère l’impact de ces technologies sur la sécurité des conducteurs. Les voix critiques comme celle de van der Sande doivent être soutenues et écoutées pour garantir des véhicules plus sûrs et plus conviviaux sur nos routes.