Boris Johnson a rompu avec la tradition en écrivant sur la santé de la reine.
Le récent livre de l’ancien Premier ministre Boris Johnson a suscité des remous en révélant que la Reine Elizabeth II souffrait d’un cancer des os avant son décès. Cette information a mis en lumière le contraste entre la tradition de confidentialité médicale des membres de la famille royale et la tendance plus moderne à partager des détails intimes.
Les royals ont longtemps gardé leur santé privée, une pratique qui remonte au règne du Roi George VI. Sous son règne, le secret médical était la norme, en partie pour éviter toute inquiétude du public. Cette tradition a perduré avec la Reine Elizabeth II et le Prince Philip, qui ont préféré mettre en avant le travail de la monarchie plutôt que leurs propres maladies.
Cependant, le Prince Charles III semble adopter une approche plus moderne en ce qui concerne sa santé. Après avoir été diagnostiqué avec un cancer en 2024, il a été transparent sur sa condition et a partagé publiquement qu’il subissait une intervention chirurgicale. Cette ouverture a eu un impact positif, incitant même davantage de personnes à consulter des informations sur les problèmes de santé.
Au final, bien que les membres de la famille royale aient traditionnellement gardé leur santé privée, certaines personnalités comme le Prince Charles III optent pour une approche plus transparente. Cette évolution souligne le changement des mentalités par rapport à la confidentialité médicale et illustre la nouvelle manière dont les membres de la famille royale choisissent de partager leur expérience de santé avec le public.