Une McLaren et un bus ? Cinq supercars qui partagent des pièces avec des véhicules de tous les jours
Les voitures de luxe ne sont pas uniquement composées de pièces exclusives; en fait, de nombreuses marques empruntent des éléments à des constructeurs automobiles grand public. Cela permet de réduire les coûts de production et de développement, tout en assurant la qualité des composants utilisés. Voici quelques exemples étonnants de voitures de sport partageant des pièces avec des véhicules plus communs.
L’un des exemples les plus connus est la Lamborghini Diablo, dont les phares ont été confirmés comme étant similaires à ceux de la Nissan 300ZX. Lamborghini, détenu par Audi, a tendance à gonfler le prix des pièces de rechange malgré leur similitude avec d’autres modèles moins chers du groupe Audi.
L’Aston Martin DB7, quant à elle, partage des composants avec des Mazda, comme les feux arrière de la Mazda 323 Astina. La Lotus Esprit utilise des pièces provenant de Leyland et de Toyota, des marques plus populaires dans le secteur automobile.
Même la Lamborghini Murcielago possède des parties provenant de la Ford Focus, un véritable exemple de partage de composants entre des voitures haut de gamme et des modèles plus simples.
Enfin, la Koenigsegg CCX, malgré son exclusivité, utilise des réflecteurs identiques à ceux de la Mazda RX-7 FD, démontrant que même les supercars empruntent parfois des éléments à des voitures plus conventionnelles.
En définitive, ces exemples montrent que les constructeurs de voitures de sport ne sont pas étrangers au recyclage de pièces provenant de voitures plus courantes. Cela témoigne de l’importance de l’efficacité et de la rentabilité dans l’industrie automobile, tout en soulignant l’ingéniosité des marques pour optimiser la production de leurs modèles.