Nick Kyrgios critique la décision « RIDICULE » de ne pas exclure le numéro 1 mondial Jannik Sinner pour avoir échoué à deux tests de drogue alors qu’il remet en question l’excuse de l’Italien pour avoir utilisé des stéroïdes.
Le joueur de tennis australien Nick Kyrgios a critiqué la décision de ne pas suspendre le numéro un mondial Jannik Sinner pour avoir échoué à deux tests de dépistage de dopage. Sinner a été testé positif pour le stéroïde anabolisant interdit clostebol lors du tournoi d’Indian Wells le 10 mars, puis à nouveau huit jours plus tard. Malgré une suspension provisoire, il a finalement été blanchi et autorisé à continuer de jouer sur le circuit ATP. L’explication de Sinner pour la présence de la substance interdite dans son organisme était que son physiothérapeute utilisait un spray contenant du clostebol pour traiter une blessure au doigt du joueur.
Kyrgios a vivement réagi à cette décision en tweetant que Sinner aurait dû être suspendu pendant deux ans, peu importe si la prise de la substance était accidentelle ou planifiée. Il a remis en question le fait que le traitement à base de clostebol ait amélioré les performances de Sinner.
Malgré l’absence de suggestion quant à une amélioration de performance due à la concentration minuscule de clostebol détectée dans son organisme, Sinner a été puni en perdant 400 points au classement et en étant privé de 250 000 dollars, la somme qu’il avait gagnée à Indian Wells. En dépit de cette décision, Sinner se tourne désormais vers l’US Open qui débute le 26 août avec la ferme intention de continuer à se conformer au programme antidopage de l’ITIA.
En conclusion, cette affaire soulève des questions sur l’intégrité du tennis et sur la manière dont les cas de dopage sont gérés par les autorités sportives. Les réactions de Nick Kyrgios mettent en lumière les tensions et les controverses qui entourent ces questions et soulignent l’importance de maintenir un environnement sportif propre et équitable pour tous les joueurs.