Fiul lui Joe Biden, Hunter Biden, angajat de un client francez pentru a influența politica SUA: procurorii
L’affaire fiscale impliquant Hunter Biden, fils du président Joe Biden, fait grand bruit aux États-Unis. Les procureurs américains l’accusent d’avoir accepté des paiements d’un homme d’affaires roumain dans le but d’influencer les agences gouvernementales américaines dans le cadre d’une enquête criminelle en Roumanie. Cette information a été révélée dans un dépôt à la cour fédérale de Los Angeles, où Hunter Biden est en attente d’un procès pour évasion fiscale le 9 septembre.
Selon les procureurs, Hunter Biden aurait reçu une rémunération de ce businessman roumain, identifié comme « G.P. », pour des services juridiques en 2015, alors que Joe Biden était vice-président des États-Unis. Il est également mentionné que Hunter Biden aurait cherché à dissimuler la véritable nature de ce travail, par crainte de conséquences politiques pour son père. Par ailleurs, G.P. était lui-même confronté à des accusations de corruption en Roumanie.
Ces révélations viennent s’ajouter aux accusations de fraude fiscale pesant sur Hunter Biden, qui aurait omis de payer 1,4 million de dollars d’impôts entre 2016 et 2019, tout en dépensant des sommes considérables en drogues et enarticles de luxe. Il est également accusé de fraude fiscale pour l’année 2018, en plus de plusieurs autres chefs d’accusation.
En réaction à ces accusations, les avocats de Hunter Biden n’ont pas encore répondu, tout comme les procureurs. La Maison Blanche s’est abstenue de tout commentaire sur cette affaire. Cette situation soulève des questions sur l’éthique et la transparence dans les pratiques des membres de la famille du président américain.
En conclusion, l’affaire Hunter Biden met en lumière les liens complexes entre la sphère politique et les intérêts privés, ainsi que les enjeux de corruption et d’influence dans le domaine des affaires. L’issue de ce procès aura sans doute des répercussions sur la crédibilité et l’intégrité de l’administration Biden, et met en lumière la nécessité d’une surveillance accrue des comportements des politiciens et de leurs proches.