Shanghai, Tokyo, New York, Houston émettent le plus de gaz à effet de serre parmi les villes du monde
Le processus des négociations climatiques des Nations unies est au cœur des pourparlers internationaux visant à limiter le réchauffement causé par le charbon, le pétrole et le gaz naturel. Les discussions autour de la COP29 ont mis en lumière l’influence de l’industrie des combustibles fossiles, avec des militants environnementaux dénonçant cette influence et appelant à une réforme radicale du processus. Certains anciens secrétaires généraux des Nations unies et négociateurs en climat ont signé une lettre appelant à un changement fondamental du fonctionnement de la COP.
L’argument principal est que le processus actuel est trop lent et devrait se concentrer davantage sur la mise en œuvre des accords déjà conclus, plutôt que sur la négociation de nouveaux accords. Il est souligné que malgré les progrès réalisés, les projections de réchauffement futur restent élevées, ce qui remet en question l’efficacité du processus. Certains acteurs proposent de limiter l’influence des lobbyistes de l’industrie des combustibles fossiles dans les négociations et de renforcer la transparence du processus.
En fin de compte, il est essentiel de reconnaître les réussites du processus des négociations climatiques de l’ONU, tout en soulignant la nécessité d’une transformation pour une action plus efficace. Il est impératif de passer d’un mode de négociation à un mode de mise en œuvre pour lutter efficacement contre le changement climatique. Le processus des COP doit être renforcé pour garantir une transition réussie vers des énergies propres et l’adaptation au changement climatique.
En conclusion, il est temps d’agir et de repenser le processus des négociations climatiques pour le rendre plus efficace et plus axé sur l’action concrète. Les défis sont nombreux, mais il est essentiel de trouver des solutions pour faire face à l’urgence climatique.